Interview de Christian Eyschen, libre penseur et franc-maçon
CLAUDE BRAUN
Administrateur et éditeur en chef du "Québec humaniste"
Claude Braun a été professeur de neurosciences cognitives à l'UQAM de nombreuses années. Retraité depuis peu, Il a publié nombres de documents de recherches sur le sujet. Il a été également éditeur du "Québec laïque" et est depuis quelques années l'éditeur en chef de notre revue "Québec humaniste" Il a également publié "Québec Athée" en 2010. Téléchargeable gratuitement en utilisant ce lien avec les compliments de l'auteur.
NDLR Il n’existe d’organisation militante humaniste de langue française que l’Association humaniste du Québec (AHQ),
semble-t-il, bien que soient bien établies depuis longtemps moult organisations semblables se donnant d’autres titres. Dans les pays de langue française, ces associations se donnent pour titre « Libre pensée » ou « Association athée » ou « Association laïque ». La plus grande et la plus ancienne de ces associations est la « Fédération nationale de libre pensée » de France.Autant l’AHQ a adhéré à la fédération basée à Londres « International humanist and ethical union » maintenant nommée « Humanists international » (HI), autant elle a aussi adhéré à l’Association internationale de libre pensée » dont le fer de lancea été la FNLP. Entre autres à cause de la barrière de la langue, mais aussi pour des raisons plus profondes, l’AHQ a entretenu au courant des dernières années des liens beaucoup plus étroits avec l’AILP qu’avec HI. Or, plusieurs hauts officiers de la FNLP et de l’AILP sont des franc-maçons. Nous avons voulu en savoir davantage. Peut-on être franc-maçon et humaniste ? Le président de la FNLP et porte-parole (France) de l’AILP a eu la bonté de répondre à nos questions en interview.
Christian Eyschen : Je suis français de France, militant syndicaliste et politique, Responsable de la Libre Pensée française et aussi porte-parole de l’Association internationale de la Libre Pensée. Je suis aussi francmaçon au Grand Orient de France. Je précise que
je parle ici en mon nom personnel, et n’engageant aucune des associations dont je suis membre.
– Qu’est-ce que la franc-maçonnerie, qui a soutenu l’épreuve du temps du début à la fin ?
Christian Eyschen : Il existe trois conceptions de l’existence de la franc-maçonnerie. Une première qui ferait d’Adam le premier initié et qui se serait perpétuée à travers les âges. C’est une onception mystico-religieuse qui repose sur un fantasme. Si cela fait du bien à des gens de croire cela, grand bien leur fasse, mais ce n’est pas crédible pour un sou.
Une deuxième est que les loges dites opératives, composées d’ouvriers libres, c’est-à-dire « francs », constructeurs des cathédrales et des bâtiments religieux et militaires, auraient au fil du temps « accepté » des bourgeois, voire des nobles, pour leur enseigner le « métier ». On ne voit pas bien ce que des aristocrates avaient à gagner en reconnaissance auprès des ouvriers.
Une troisième conception, qui a ma faveur, est que, pour des raisons politiques, en Angleterre, l’élite du pays en avait assez des guerres de religion et qu’elle avoulu créer de toutes pièces un havre de paix pour que les points de vue différents puissent se confronter sans massacre, dans un cadre plus civilisé.
Comme toute organisation qui se crée, la franc maçonnerie s’est inventé une histoire (Les Constitutions d’Anderson) en détruisant toutes les traces écrites des sociétés de compagnonnage en Angleterre. « Qui n’a pas de passé n’a pas d’avenir » dit-on. Les Loges se sont donc inventé un passé et ont un peu supprimé celui des Loges opératives.
On sait maintenant que ce ne sont pas les maçons opératifs « anciens » qui ont prêté leurs « symboliques » aux Francs-maçons spéculatifs « modernes », mais que c’est le contraire durant le XIXe siècle. L’Histoire change tout le temps et est en pleine évolution. Parler d’Histoire, c’est faire l’Histoire, ce n’est jamais neutre.
Les raisons du XVIIIe siècle de création ex nihilo de la franc-maçonnerie pour que des gens très différents, qui ne se rencontreraient pas autrement, puissent le faire est toujours valable. Mais pour que cela soit utile, il faut garder une certaine distance avec l’extérieur et une discrétion indispensable.
C’est parce que cette sociabilité est toujours nécessaire que la franc-maçonnerie a pu perdurer, tout en changeant beaucoup. On a connu une première phase très mondaine, où il fallait « en être », à une période où s’est construite la démocratie. C’est l’heure des grands combats. En France, on voit très bien que les Loges ont été le seul endroit possible pour l’élaboration d’une pensée républicaine, le droit d’association n’existant pas alors.
Quand celui-ci a été constitué, un mouvement s ‘est opéré dans les Loges pour une démarche plus personnelle et plus symbolique. L’aspect individuel va se substituer globalement à l’aspect collectif. Il faut cependant nuancer ce propos. En France, du fait des désillusions causées par la gauche au pouvoir qui a tout renié des idéaux affichés naguère, beaucoup de personnes sont tentées de trouver un produit de remplacement dans la franc-maçonnerie. C’est ce qui explique qu’il y a beaucoup d’entrées en Loge et quasiment autant de sorties. C’est pourquoi, les Francs Maçons disent avec humour que la Maçonnerie est le contraire des sectes : c’est difficile d’y rentrer, mais c’est facile d’en sortir.
– Comment la franc-maçonnerie a-t-elle évolué pour le mieux (en conformité avec les changements de la réalité humaine) dans certains coins du monde,
selon vous ?
Christian Eyschen : Tout d’abord, la franc-maçonnerie, cela n’existe pas. Il y a des franc-maçonneries toutes différentes, à peu près autant qu’il y a de FrancsMaçons sur terre. La Maçonnerie est avant tout une démarche individuelle. C’est un peu comme, sur l’autoroute, quand on est seul dans sa voiture, mais qu’il y a beaucoup de voitures sur la route. On chemine seul, mais ensemble.
On peut cependant distinguer deux grands ensembles. Une maçonnerie dite « régulière », car obéissant à des dogmes. Ceux de la Grande Loge Unie d’Angleterre, qui est majoritaire dans le monde anglo-saxon. Il faut croire un un dieu révélé, celui de la Bible, du Pentateuque ou du Coran. C’est très religieux dans la forme et plus destiné à des missions humanitaires et d’aide sociale. C’est la Maçonnerie la plus nombreuse dans le monde. Mais il semble que sur sa terre d’élection, les États-Unis, elle est en train de fondre littéralement, sans doute un effet du réchauffement climatique de rapprochement des peuples…
L’autre versant est dit a-dogmatique ou libéral (au sens du XVIIIe siècle. Elle se veut partisane de la liberté de conscience, bien que certaines Obédiences imposent la référence au Grand Architecte de l’Univers (GADLU) qui est principe, créateur, donc divin. Le Grand Orient de France a supprimé l’obligation de croire à Dieu, à l’immortalité de l’âme et au GADLU en 1877. Des tentations sont fortes pour établir une sorte de Yalta-Postdam entre ces deux conceptions, comme une sorte de partage du marché maçonnique. Mais le franc-maçon aime avant tout sa liberté. Les Obédiences maçonniques ne se reconnaissent pas toutes entre elles, mais, en règle générale, les Francs-Maçons se reconnaissent tous entre eux. Cette contradiction est féconde. Chacun fait un peu ce qu’il veut chez lui. On dit que la franc-maçonnerie n’est nulle part (comme corps constitué intervenant), mais que les Francs Maçons sont partout.
– Avez-vous quelques raisons très personnelles et particulières d’adhérer à la franc-maçonnerie ?
Christian Eyschen : Étant un militant engagé dans la mêlée sociale, je ne cherche pas à trouver dans ma Loge un substitut à l’action militante. J’ai largement
de quoi faire ailleurs. Pour moi, le symbolisme maçonnique est une récréation de la pensée, c’est mon école buissonnière à moi. Je ne supporterais pas
de dire et faire la même chose dans la Libre Pensée, mon syndicat, mon parti, ma Loge maçonnique. C’est de la pluralité des engagements que nait l’intérêt.
Par goût personnel, j’aime beaucoup le symbolisme, car cela permet de comprendre qu’il y a toujours plusieurs sens aux choses. En « conciliant les
contraires », on fait un peu une dissertation : thèse, antithèse, synthèse. C’est une gymnastique de l’intelligence. Et puis, cela change de l’ordinaire.
Par ailleurs, quand on est un militant, on s’intéresse à l’Histoire en général. Comment ne pas voir que sur tous les terrains sociaux, politiques, culturels,
laïques, etc. on rencontre des Francs-Maçons qui ont marqué leur temps. Je suis très partisan de la formule, que je trouve très éclairante : la franc-maçonnerie ne changera pas le monde, mais elle peut changer les gens qui changeront le monde.
Et puis, j’y ai rencontré des personnes formidables, hommes ou femmes qui m’ont beaucoup marqué. La Loge est d’abord et avant tout un lieu de rencontre avec gens que l’on ne rencontrerait pas ailleurs. C’est ce qui fait sa richesse. Il y a une tendance lourde et humaine à ce que le milieu recrute dans le milieu, tous semblables avec les mêmes centres d’intérêt. La Maçonnerie doit faire l’effort continu qu’il n’en soit pas ainsi. Mais c’est avant tout une œuvre humaine. C’est l’Humanité avec ses forces et ses faiblesses.
– Quels sont les principaux préjugés auxquels les francs-maçons sont confrontés aujourd’hui, selon vous ?
Christian Eyschen : Du fait de la nécessaire discrétion, les Loges nourrissent tous les fantasmes. Que peuvent ils bien se dire en secret ? Que cachent-ils ? Que fomentent-ils ? Si l’on dit la vérité, à savoir : rien ; immédiatement, le commentaire est : ils mentent, ils nient, c’est donc le contraire. On ne peut rien contre le complotisme. Quand le concept précède la preuve, on ne peut pas discuter.
Il suffit de fréquenter une Loge et de s’y faire initier pour s’apercevoir vite que celui qui voudrait faire un complot en Loge serait bien mal parti. C’est l’organisation la plus anarchique qui soit. Et sans compter le nombre de policiers qui sont initiés comme « Enfants de la veuve », cela serait la plus mauvaise idée que de vouloir ourdir quelque chose de clandestin dans une Loge.
Bien entendu, comme la franc-maçonnerie a été persécutée par les régimes totalitaires, on comprend bien que la discrétion, dans les pays où cela a existé, est assez consubstantielle aux Loges. On a déjà donné, en quelque sorte.
On reproche aussi à la franc-maçonnerie d’être « la synagogue de Satan », de pratiquer des messes noires et des orgies. J’ai le regret de vous dire que, malheureusement, il n’en est rien. J’aurais bien aimé pourtant, ne serait-ce que par admiration pour Rabelais.
Un autre reproche est fait : celui de l’athéisme et de la lutte contre les religions. Rien n’est plus faux. La francmaçonnerie n’est pas athée, elle est pour la liberté de conscience (en tout cas celle dite a-dogmatique). Que quelqu’un soit croyant, pratiquant, agnostique, athée, libre penseur, personne ne le lui reprochera en Loge, sinon, ce n’est pas la liberté de conscience, garantie par la laïcité.
Au mieux (et ce n’est pas toujours le cas), la francmaçonnerie combattra le cléricalisme qui est l’ingérence du religieux dans le temporel. La Laïcité, c’est un paradoxe, protège plus le croyant que l’athée qui n’a rien à faire des commandements du pape. En ce sens, la formule de Victor Hugo « l’État chez lui et l’Église chez elle » reflète bien la conception de la franc-maçonnerie libérale.
– Résumez brièvement le lien de longue date entre la franc-maçonnerie et la Libre Pensée
Christian Eyschen : Les deux associations proviennent d’un même mouvement historique qui part de la civilisation gréco-latine, qui ressurgit sous la
Renaissance, qui côtoie la Réforme et son libre examen pour déboucher sur les Lumières et la Révolution française. Ce mouvement triomphe par l’avènement de la République et par l’instauration de la Séparation des Eglises et de l’Etat.
La Libre Pensée et la franc-maçonnerie ont donc la même source : l’Humanisme, c’est-à-dire la volonté de mettre l’homme au centre de sa destinée. Elles font leurs, comme principe fondamental, la formule de Protagoras : « l’Homme est la mesure de toute chose ». L’Homme, c’est d’abord sa pensée qui ne peut que revendiquer d’être libre. C’est pourquoi, les deux associations sont passées de la notion de libre examen à celle de liberté absolue de conscience qui embrasse la liberté humaine toute entière.
Au fil des décennies, le programme de la Libre Pensée va se structurer sur quatre grands principes : la laïcité, c’est-à-dire la séparation des Églises et de l’État, la lutte antireligieuse contre les dogmes et l’obscurantisme qui débouchera sur l’athéisme militant, le refus des guerres par le pacifisme et l’internationalisme, et le refus de toute oppression économique et sociale.
De sa création à nos jours, la Libre Pensée va compter parmi les siens les plus grands noms : François Raspail, Giuseppe Garibaldi, Émile Littré, Victor Hugo, Anatole France, Jules Ferry, René Goblet, Ferdinand Buisson, Aristide Briand, Jean Jaurès, Édouard Herriot, Jean Rostand. Un grand nombre d’entre eux sont aussi Francs-maçons.
Indubitablement, il y a un grand nombre de ressemblances entre la Libre Pensée et la franc-maçonnerie. Elles sont toutes les deux un lieu de débat permanent, de confrontation et de recherche sans limites. Elles ont chacune un sacré (« qui s’impose par sa haute valeur ») qu’elles opposent au profane (« qui ignore les usages et les règles »).
Elles ont aussi une gestion du temps et du calendrier avec des fêtes bien à elles. Dans les Loges, ce sont les solstices. À la Libre Pensée, on se rassemble autour de grandes dates historiques : la décollation de Louis XVI, le banquet du vendredi dit saint, la Commune de Paris, la proclamation de la République, par exemple, le 20 septembre, journée internationale de la Libre Pensée, en souvenir de Garibaldi.
La franc-maçonnerie et la Libre Pensée vont historiquement d’abord se proclamer « déiste ». Le mouvement de sécularisation croissante de la société, initiée par la Révolution française, va avoir des conséquences importantes au fil des décennies écoulées. Avec l’affirmation de la République et avec l’apparition et le développement du mouvement ouvrier organisé, liant une volonté commune d’émancipation sociale, cela va les conduire à rompre avec un « principe créateur ».
Dans le même mouvement historique et politique, le Grand Orient de France va supprimer en 1877 l’obligation de croire en Dieu, à l’immortalité de l’âme et de travailler sous les auspices du Grand Architecte de l’Univers. Ces obligations ne datent pas d’ailleurs des constitutions d’Anderson de 1723, mais seulement de 1849 où ces dispositions ont été décidées pour répondre à la peur des possédants face aux révolutionnaires de 1848.
En 1877, le Convent du Grand Orient de France modifiera l’article premier de sa constitution qui sera désormais : « La franc-maçonnerie a pour principe la tolérance mutuelle, le respect des autres et de soi même, la liberté absolue de conscience. Considérant les conceptions métaphysiques comme étant du domaine exclusif de l’appréciation individuelle de ses membres, elle se refuse à toute affirmation dogmatique ». C’est l’affirmation de l’absolue liberté de conscience.
La Libre Pensée sera d’abord fortement influencée par l’idéologie de la bourgeoisie révolutionnaire, puis républicaine et radicale. Après l’expérience de la Commune de Paris, avec la renaissance des organisations ouvrières, elle va lier, chaque jour davantage, son sort au mouvement ouvrier et, par là même, devenir de plus en plus matérialiste et athée.
Si la rupture avec le « déisme » est plus forte et va plus loin que dans la franc-maçonnerie, c’est le même mouvement historique qui se manifeste. Souvent les acteurs de cette fracture sont les mêmes dans les Loges maçonniques et dans les sociétés de libres penseurs. Cela aura bien sûr des conséquences organisationnelles entre ceux qui rompent les amarres du divin et ceux qui veulent rester liés à une certaine forme de religiosité.
Le paysage maçonnique actuel des obédiences où l’on trouve de tout : des obédiences dogmatiques et d’autres laïques, des fédérations de Loges mixtes, masculines ou purement féminines ; rappelle sans conteste le paysage ancien des associations de libre pensée. Certaines étaient et sont toujours profondément matérialistes et athées, d’autres furent « déistes », d’autres encore rassemblaient les libres penseurs et les libres croyants, comme celle animée par Ferdinand Buisson au début du XXe siècle. Il y avait aussi les fractures politiques entre les sociétés de libres penseurs radicaux, d’autres socialistes, plus tard celles liées au PCF, les Travailleurs sans dieu.
Si la Libre Pensée et la franc-maçonnerie sont deux associations, souvent proches, mais toujours différentes, elles ont souvent les mêmes ennemis. On l’a vu en 1940, où le Régime de Vichy les a interdites quasiment en même temps. L’Église catholique, hier comme aujourd’hui, les voue aux gémonies. La franc-maçonnerie a-dogmatique et laïque et la Libre Pensée sont des associations issues de la démocratie politique. Elles sont donc, toutes les deux, les adversaires irréconciliables des dictatures et des totalitarismes qui le leur rendent bien.
Produits d’une même histoire, les deux courants ont cheminé sur des routes parallèles qui se sont croisées souvent. C’est sans doute un défi à la géométrie, mais comme ici « tout est symbole », tout est possible. Il n’y a pas de liens organiques entre la Libre Pensée et la franc-maçonnerie, pas plus qu’il n’y en a avec les syndicats ouvriers et les partis, et il ne saurait y en avoir, mais il y a eu, il y a encore et il y aura certainement demain, une convergence d’intérêts et d’actions pour la défense de nos valeurs communes. Et c’est toujours de la confrontation des idées que naît la lumière !
– Y a-t-il selon vous une intersection entre la franc maçonnerie et l’humanisme militant (ex. : celui des organisations humanistes et de la Humanist
international qui sont bien appréciées, on le voit bien,à l’AILP).
Christian Eyschen : Les relations entre les partisans de l’émancipation humaine, sous quelque forme organisationnelle que ce soit, sont du même ordre
qu’entre la Libre Pensée et la franc-maçonnerie. Il y a bien une « intersection » dans toutes ces formes d’associations qui poursuivent plus ou moins le même but : le triomphe de la liberté humaine.
Mais l’histoire de chacune de ces composantes joue aussi. Il y a un lien très fort entre elles dans le monde et en Europe, mais avec une distinction dans le monde anglo-saxon. Ce n’est pas la même franc-maçonnerie, ce ne sont pas non plus les mêmes types l’associations humanistes. Ainsi, l’IHEU est très marquée par son caractère anglosaxon, ce que l’Association internationale de la Libre Pensée n’est pas.
Les relations entre la Maçonnerie et l’IHEU n’ont pas le même caractère qu’avec les Loges et la Libre Pensée. C’est un fait culturel. Mais là aussi,
comme on a fait dire à Saint-Exupéry : « Mon Frère, si tu diffères de moi, loin de me léser, tu m’enrichis ». Cela sera le mot de la fin.
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