Les enjeux pour l’humanité inscrits dans les crises écologiques contemporaines
Harvey L. Mead
Harvey Mead fut professeur de philosophie au collégial. Il est l’auteur de L’indice de progrès véritable: Quand
l’économie dépasse l’écologie, 2011 (MultiMondes). Il fut Commissaire au développement durable et Vérificateur général adjoint du Québec, 2007-2008. Il fut Président (Chair), de la Table ronde nationale sur l’environnement et l’économie, 2002- 2005. Il fut Président de Nature Québec 1981-1989, 1994-2006
La critique que fait Braun de Jean-Paul Sartre m’a amené à relire L’existentialisme est un humanisme, datant de la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Suivant les références de Braun, cela m’a fait découvrir la Préface que Sartre a écrite 15 ans plus tard pour Les damnés de la terre de Franz Fanon [2] et ensuite à lire ce livre, qui traînait sur mes étagères depuis près de 50 ans sans jamais avoir été lu. Finalement, poursuivant la réflexion que tout ceci stimulait, j’ai lu The Pedagogy of the Oppressed de Pablo Freire, traînant également sur mes étagères depuis des décennies.
Ces lectures me ramenaient à l’époque coloniale (et post-coloniale) concernant laquelle d’autres lectures avaient stimulé une réflexion lors de mon quatrième voyage en Chine au printemps de 2015. Ce voyage faisait partie d’un effort de ma part depuis 2009 à mieux connaître et à mieux cerner la place de la Chine face aux enjeux écologiques planétaires qui me préoccupent depuis justement des décennies. Concernant ces enjeux et pour compléter la mise en contexte, Braun commence son texte sur l’antihumanisme en soulignant que la réflexion d’Edward O. Wilson sur l’élan suicidaire de notre espèce n’est pas théorique et n’est donc pas la cible de ses critiques. Dans un récent article de mon blogue [3], j’abonde dans le sens de Wilson, faisant la distinction entre le suicide politique dont le refus nous met dans l’embarras et le suicide collectif qui est en train d’en résulter.
Wilson et moi nous trouvons dans l’interprétation plutôt que dans la science, mais nos réflexions me semblent éminemment philosophiques, et je ne comprends pas pourquoi Braun fait la distinction entre le théorique et le philosophique. J’ai décidé de poursuivre mes réflexions en essayant de situer l’humain dans le contexte de la crise planétaire en cours. Ma formation en philosophie et mon enseignement de cette discipline pendant plusieurs décennies me permettent de rejoindre les autres auteurs en pensant que la réflexion est théorique et humaniste, dans le sens peu précisé de Braun.
Le fait que j’ai poursuivi, en complément à mon enseignement, une carrière comme militant dans le mouvement environnemental pendant ces mêmes décennies explique l’intérêt de ramener cet ensemble de lectures à une réflexion sur l’humain dans la biosphère, en mettant un certain accent sur Sartre.
Un dialogue qui s’impose, entre humains, avec la biosphère
Sartre commençait sa préface au livre de Fanon en 1961 ainsi :
Il n’y a pas si longtemps, la terre comptait deux milliards d’habitants, soit cinq cents millions d’hommes et un milliard cinq cents millions d’indigènes. Les premiers disposaient du Verbe, les autres l’empruntaient. Entre ceux-là et ceux-ci, des roitelets vendus, des féodaux, une fausse bourgeoisie forgée de toutes pièces servaient d’intermédiaires. Aux colonies, la vérité se montrait nue ; les « métropoles » la préféraient vêtue; il fallait que l’indigène les aimât. (9) …
Il poursuivait :
Les voix jaunes et noires parlaient encore de notre humanisme, mais c’était pour nous reprocher notre inhumanité. … L’indigénat est une névrose introduite et maintenue par le colon chez les colonisés avec leur consentement. … Réclamer et renier, tout à la fois, la condition humaine : la contradiction est explosive. (18-19)
Aujourd’hui, il y a environ 7 milliards d’habitants sur la terre, soit un milliard de riches et six milliards de pauvres. Pour certains, il est essentiel face à cette situation de maintenir des valeurs face aux défis, et celles-ci incluent la démocratie, présente surtout dans les pays riches. Pour certains dans les pays riches[4], il serait mieux que l’humanité disparaisse que de perdre la démocratie. En partant pour le voyage en Chine au printemps, je me suis permis la réflexion suivante face à de tels propos :
Je pars pour un quatrième voyage en Chine et je n’ai aucun doute que j’y trouverai des humains qui cherchent leur bonheur, dans des conditions autres que nous, conditions qui n’enlèvent pourtant pas complètement l’intérêt de leur recherche. Je ne rencontrerai vraisemblablement pas des gens qui sont bloqués dans cette recherche par un gouvernement autoritaire, gens qui ne partageraient probablement pas quand même la conviction de mon intervieweur que leur vie ne vaut pas la peine d’être vécue.
Le contexte pour cette réflexion est ma conviction que la loi d’un seul enfant, qui a permis à une Chine surpeuplée d’éviter la naissance de peut-être 400 millions de nouveaux pauvres sur son territoire, représente une intervention à valeur humaniste : l’intervention mettait un accent sur la volonté de fournir une vie meilleure aux personnes qui vivent sur la planète plutôt que de reconnaître une liberté d’en procréer d’autres que certains pensent absolue.
La lecture de The Pedagogy of the Oppressed m’a permis de situer ce jugement dans un contexte plus large. Freire termine son livre en insistant sur l’énorme différence entre deux pédagogies. Pour l’une, l’objet est le transfert de connaissances d’un professeur dans une sorte de compte bancaire que possède l’élève, sa propre intelligence. Pour l’autre, l’objet est la libération de l’intelligence de l’élève dans un dialogue avec celle du professeur, lui-même en état d’apprentissage permanent [5]. Freire applique cette distinction au vrai monde, où vivent les milliards de pauvres que Sartre appelle des indigènes; pour Freire, c’est une question de distinguer entre les oppresseurs et les opprimés. Pour les détenteurs de la vérité, du pouvoir, de la vision qui accompagne le sentiment d’être dans la bonne voie, il est important de transmettre ce qu’ils détiennent. Pour les gens qui, comme moi pendant ma carrière de professeur de Humanities, ressentent qu’ils ne détiennent pas une vérité, ni même un contenu qui doit être transmis de façon prioritaire, l’éducation est l’occasion d’encourager l’élève dans la poursuite d’une réflexion permanente dans le dialogue
Ma réflexion se situe dans la « grande conversation » des penseurs du monde civilisé occidental dont j’ai fréquenté les œuvres pendant ma carrière, mais en reconnaissant justement que cette conversation était et est en constante évolution et comporte comme valeur l’effort imparfait de compréhension qui a marqué, entre autres, la pensée des philosophes critiqués par Braun.
En effet, l’Occidental reconnaît depuis un certain temps qu’il y a un monde oriental, un monde musulman, un monde autochtone, un monde d’indigènes. Dès le contact avec ces autres mondes, la réalisation frappe que la « grande conversation » occidentale manque de pans complets de réflexion. Braun insiste sur le fait qu’une civilisation humaine doive avoir une valeur universelle, mettre en valeur la dignité de l’être humain et avoir pour but sa valorisation et son épanouissement. Il fait ses propositions en partant de l’expérience de notre civilisation occidentale, mais rien ne suggère que nous pouvons prétendre avoir cerné définitivement une telle valeur, et la mondialisation contemporaine des expériences humaines nous offre de nouvelles perspectives.
L’impérialisme, le néocolonialisme, le capitalisme
Sartre a écrit sa préface pour l’œuvre posthume de Fanon parue en 1962, l’année après la mort de Fanon, l’année avant que l’Algérie n’obtienne son indépendance de la France. Finalement, mes réflexions sur le livre et sur la préface s’inséraient dans la lecture de trois romans de Malraux (dont ma première lecture cette fois-ci remontait aux années 1960) : La condition humaine (1933), sur la guerre civile en Chine avant l’arrivée des communistes au pouvoir, et qui ne portait pas vraiment sur cette guerre; Les conquérants (1928), sur la prise de contrôle de Hong Kong par les forces chinoises, et qui encore une fois est bien plus qu’une narration sur la guerre; La voie royale (1930), récit d’une expédition dans l’Indochine, territoire français où encore des (vrais) indigènes survivaient et que les personnages rencontrent.
Malraux visitait le colonialisme une génération avant la visite de Fanon, et présentait la vie des indigènes maintenant une place en dehors du colonialisme. Trente ans plus tard, Fanon devient non seulement un penseur (marxiste, existentialiste) mais aussi un militant pour l’Armée de libération de l’Algérie, où lui-même était étranger (venant à l’origine des Caraïbes); son livre n’est pas un roman, mais une expérience où on le voit assimiler et concrétiser la pensée de Sartre.
Les gens de mon âge arrivent des décennies après les nombreuses guerres d’indépendance, toutes ayant réussi d’une manière ou d’une autre dans la volonté de se séparer formellement du pays colonisateur, même si une sorte de néocolonialisme s’est manifestée dans de nombreux pays après. C’est par la lecture que nous arrivons à comprendre quelque peu ce colonialisme, et nous n’en sommes pas édifiés. À notre tour, nous voyons le même phénomène, finalement, sous d’autres auspices. Les mêmes pays, anciennement colonisateurs, possèdent une emprise aujourd’hui qui n’est plus militaire mais économique, et ils sont partout; à eux se sont joints les États-Unis, sortis de la Deuxième Guerre mondiale avec un pouvoir économique et politique inouï. Aujourd’hui nous nous trouvons devant un nouvel impérialisme, manifestant les mêmes traits que les pays colonisateurs d’autrefois mais opérant par la voie du capitalisme débridé.
L’héritage
Sartre, Fanon, Freire, Malraux insistent sur la pédagogie du dialogue par laquelle nous devenons humains au fur et à mesure que nous nous maintenons dans le dialogue. Pour Fanon, les Algériens se définissaient, leur État se définissait, dans l’action de révolte. On passe à travers le livre de Freire en constatant qu’il tient pour acquis et comme préalable que les leaders révolutionnaires savent déjà que les indigènes de Sartre sont opprimés. Son défi est de formuler une façon pour les opprimés et pour les leaders révolutionnaires d’entamer le dialogue entre eux-mêmes et foncer dans l’action en vue d’une libération. Cela incluait les indigènes de l’Amérique latine de Freire, ceux, noirs ou bruns, de l’Afrique de Fanon et ceux, jaunes, de Malraux. C’est ici où Braun semble débarquer, n’acceptant pas que l’humain se définisse dans l’action. Pourtant, l’appartenance à l’humanité, la volonté de la vivre pleinement, est manifeste chez ces auteurs.
Aujourd’hui, nous parlons sérieusement et littéralement de la fin de la civilisation humaine. Encore une fois, la vaste majorité des humains se trouve dans une situation d’oppression. Les nouveaux maîtres de la terre, les riches, participent à cette oppression.Nous sommes les représentants du capitalisme dans sa recherche soutenue et sans limites d’une croissance économique, cela simplement par notre vie dans la consommation.
Face aux crises écologiques, le principal problème aujourd’hui, auquel Freire n’offre pas de solution, est la détermination de notre situation, plutôt facile à décrire et objective face au colonialisme, moins évidente aujourd’hui. Halte à la croissance, dans son modèle et dans ses projections, présente un portrait convaincant des tendances du développement sous le capitalisme et nous aide à comprendre que les crises aujourd’hui semblent refléter la période de bascule projetée pour environ 2025.
En évaluant la situation, il nous faut comprendre aussi, par un semblant d’approche quantitative, que les coûts associés aux conséquences des risques associés à notre mode de vie seront plus importants que les coûts associés à la mise en place d’un nouveau système. L’énorme obstacle à l’effort des militants parmi nous de nous définir dans l’action est la conviction de la vaste majorité des économistes, et des décideurs qui suivent leurs conseils, que nous ne pouvons pas lâcher la croissance, que sans croissance nous ne pourrons pas maintenir notre civilisation.
Pourtant, et c’est le constat des promoteurs du capitalisme eux-mêmes, le système a créé sans cesse des inégalités intolérables parmi les populations humaines sur la planète, maintenant les indigènes contemporains dans leur pauvreté. Voilà un positionnement qui nous rappelle celui des années 1950-1970, quand les pays colonisateurs ne pouvaient pas imaginer l’abandon des bénéfices associés au colonialisme, l’abandon du statut défini par le colonialisme lui-même. Cela n’a pas empêché l’émergence de mouvements de libération partout sur la planète, mouvements qui ont gagné leurs paris.
La résilience
Braun insiste sur la convivialité comme caractéristique fondamentale de l’humanisme, ce qu’il ne voit pas chez Wilson, ce qu’un certain intervieweur ne voyait pas chez moi. Il est intéressant de confronter cette insistance à un mouvement qui semble offrir une approche à la révolution qui s’amorce, l’Alliance de la résilience [6]. Thomas Homer-Dixon en parle dans son livre The Upside of Down : Catastrophe, Creativity and the Renewal of Civilization. Il y décrit ses rencontres avec les scientifiques Joseph Tainter (220-227) et Buzz Hollings, fondateur de l’Alliance, celui-ci d’abord dans le chapitre décrivant notre situation de dépassement (225-232), ensuite, dans celui portant sur l’effondrement (250-254) et finalement, dans le dernier chapitre sur la catagenèse, son terme pour ce qui constituera la sortie de la catastrophe. Tainter permet de bien constater la situation d’effondrement de notre civilisation complexe, ce qui justifie la révolution, alors que Hollings exprime l’espoir selon Homer-Dixon, ou du moins, propose la pédagogie contemporaine qu’il faut prioriser face aux crises.
Comme pour Fanon, la catagenèse va se définir dans l’action, voire dans la violence; comme pour Freire, elle va se faire presque sans l’aide des connaissances actuelles liées à une civilisation qui a déshumanisé les populations du monde. On peut suggérer que la critique écologiste de la civilisation actuelle, dont les fondements sont dans le modèle capitaliste, remonte à Halte à la croissance de 1972. Elle s’est poursuivie pendant des décennies, à l’image presque des critiques du colonialisme. Le système en place a maintenu une inertie qui a fait en sorte que les projections d’effondrement s’avèrent aujourd’hui des réalités. Le capitalisme en cause, caractérisé par une compréhension de l’économie ne reconnaît (toujours) pas son insertion dans un cadre défini par la planète elle-même. A fortiori, il n’a fourni aucune indication qu’il s’interroge « sur sa place dans l’univers ». Pire, son insistance sur la consommation matérielle a réduit les riches – « les consommateurs » – à des humains sans dignité, dans un milieu de concurrence universelle qui est loin de la convivialité. Dans leur corruption indigne, les riches rendent une convivialité avec leurs indigènes, les pauvres, presque impensable.
L’Alliance, fidèle au caractère scientifique de son fondateur, reste plutôt générale quand il s’agit de la pédagogie pour la révolution, ciblant des dossiers sous un œil d’analyse scientifique. Elle comporte néanmoins des suites, dont The Resilience Imperative, par Michael Lewis et Pat Conaty (2012, New Society Publishers). Ces auteurs insistent sur les fondements d’une nouvelle société qui pourrait se mettre en branle aujourd’hui, et qui pourrait peut-être passer à travers le maelstrom qui s’en vient. Nous y retournons aux relations entre humains, à un effort de concevoir et mettre en place une nouvelle société avec des valeurs qui ressortent d’un examen des fondements des crises actuelles et de leurs causes. Voilà notre version de la pédagogie des opprimés et de la convivialité possible.
Ce livre fournit une approche à nos interventions qui ne présume pas, comme le font la grande majorité des militants, une transition en douceur. En contraste, nous voyons ces militants agir comme les décriraient Fanon et Freire, imbus des valeurs de l’oppresseur, en l’occurrence, le capitalisme, la croissance, la surconsommation et – leur espoir – l’économie verte. La plus récente manifestation de ceci est le manifeste Pour un grand bond en avant [7], où on peut déceler, comme chez ses prédécesseurs, le résultat d’un processus d’éducation que Freire appellerait « bancaire », où il y a transmission de mythes sans le dialogue dans l’action nécessaire pour en décortiquer les véritables implications de l’énoncé.
La recherche de valeurs dans un monde face à l’effondrement
La recherche de valeurs universelles souhaitée par Braun n’est pas le propre du monde occidental. Lorsque nous pénétrons dans ces autres mondes, oriental, musulman, autochtone, noir, nous voyons des histoires qui partagent la même recherche et également les mêmes critiques des dérapages. Braun y trouverait des indications d’une volonté du vivre-ensemble qui pourrait bien s’appeler une convivialité, mais celle-ci est moins un critère définissant les différents mondes qu’un souhait partagé par un ensemble de peuples dans leurs rejets des dérapages. Braun insiste sur la volonté d’une valorisation et de l’épanouissement des populations, et ces objectifs se trouvent peu souvent atteints.
La colonisation de la terre par les pouvoirs occidentaux a atteint une grande partie de la population humaine, et les efforts par ces populations de passer outre rejetaient souvent les valeurs de ces pouvoirs mises en contradiction par leurs actes. Le lecteur de Les damnés de la terre, voire de la préface de Sartre à ce livre, ne peut quand même pas ne pas remarquer justement le respect implicite de certaines valeurs de base. On peut même proposer que celles-ci soient réunies dans les critères énoncés par Braun.
Aujourd’hui, la mondialisation a réussi à pénétrer dans les derniers recoins de la planète, poussant ses impacts jusqu’au fonctionnement des systèmes géophysicochimiques planétaires. La critique écologiste devient de plus en plus clairement une critique de la civilisation même responsable de ces impacts. Encore une fois, mais de façon plus marquée, l’humain reconnait avoir perdu ses balises à travers les dérapages qui ont réduit sa dignité à celle d’un consommateur. Encore en parallèle à la situation de l’ère coloniale, cette reconnaissance identifie les humains comme responsables, d’une part, d’une oppression de nombreux peuples relégués à un rôle de fournisseurs pour la consommation des riches, mais d’autres part – et c’est nouveau – d’une dégradation dramatique de la planète elle-même.
Nous ne savons pas ce que nous pourrons faire de la situation, nous ne pouvons nous référer aux valeurs inhérentes dans la mondialisation et ses effets. Le rejet du système, la recherche de nouveaux modèles de vivre-ensemble, ce qui se passe dans les contestations actuelles, elles-mêmes marginales, comme à la sortie du colonialisme, n’a presque pas de balises et doit se définir dans les gestes eux-mêmes. Pour Sartre, cela est la situation permanente de la personne humaine.
Références
- L’anti-humanisme théorique, Claude Braun, Québec humaniste, Vol 10(1), 2015, pp 37-40 http://assohum.org/Media/QH/QHVol10nu1.pdf
- Le livre est disponible en version numérique à http://classiques.uqac.ca/classiques/fanon_/damnes_de_la_terre/damnes_de_la_terre.html
- http://www.harveymead.org/2015/10/21/elections-et-vraies-affaires/#comment-616
- Voir http://www.harveymead.org/2015/02/25/la-liberte-dexpression-ou-la-mort/
- Je fournis des fondements de mon adhésion à ce deuxième type d’apprentissage dans « Mouches », à http://www.harveymead. org/ecrits-2/78-2/
- http://www.resalliance.org
- http://www.ledevoir.com/politique/canada/450049/un-grand-bond-vers-l-avant J’ai pu le signer en soulignant à ces auteurs que c’était en raison de son flou magistral…
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